Qu'on se le dise !! La Fanaille est une star, une de celles qui, discrètes, surprennent leurs camarades au détour d'une affiche, ultime et glorieuse récompense pour avoir rivalisé avec le lapin de Duracell et être restée 35h avec 35 bloggeurs dans une maison sans dormir, avec plein de restrictions comportementales et avec que 2 autres bloggueurs à la fin (les autres, avouez donc, vous les avez butés, nan ?) ..... Je n'ai pas encore pu me faire photographier sous sa tronche, dans une position de totale déférence mêlée d'hystérie et de fierté, avec peut-être une affiche indiquant "la meuf, je la connais, z'avez les boules, hein ?", enfin un truc du genre, mais j'y compte bien, faut juste trouver quoi y foutre, au 84 avenue de l'Amiral Mouchez, dans le 14ème arrondissement de Paris.
Du coup soyons fous ! Folle, à vrai dire, je n'ai pas encore changé de sexe et je ne me tâte plus, finalement, parce qu'au boulot c'est trop troublant après, savez bien...... J'ai rêvé d'elle, de Fanaille, cette nuit (les draps n'ont malheureusement pas l'honneur de s'en souvenir car, ayant misé la priorité sur la saisie des impôts hier, nous avons dormi sans), enfin plutôt juste avant que je me réveille et que je me rende compte que fermer-les-yeux-pour-se-les-reposer-après-avoir-éteint-c'est-con-parce-qu'il-est-8h55-et-que-6-minutes-plus-tard-j'étais-en-retard.
C'était TRES étrange, et c'est bien pour ça que je le mentionne : je regardais dans la cour par la fenêtre de Thomas et j'ai vu la cops écrivatrice sur le dos et sur une voiture, les cheveux rouge profond, en train de se faire secouer et maintenir (mais pas de sexual violence, ne fantasmez pas à côté, genre plutôt te-barres-pas-je-te-tiens) par mon connard de voisin et un autre abruti que je ne voyais pas ; j'ai crié (criéééé) puis j'ai descendu les escaliers ventre à terre, sauf que j'ai été bloquée par un gosse, au 1er étage, qui me regardait très très bizarrement.
C'est alors que j'ai réalisé que je me baladais les seins à l'air et pieds nus, uniquement vêtue de mon pantalon de pyj...
Puis je me suis réveillée.
A méditer ou c'est pas la peine ?