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Ouaramère, retourne chez ta mère ! ;-)

  • 14 ans, déjà

    Pour faire écho à ma note précédente sans pour autant basculer dans le mélodrame, les horribles récents événements, ex. meurtres de l'équipe de Charlie Hebdo, au magasin casher Porte de Vincennes, les prises d'otages et la casse un peu partout, les massacres de Boko Haram au Nigeria, les politiques qui y vont de leurs bons mots et usent leurs godasses sur le bitume..... (après j'ai un peu arrêté de regarder les infos, j'avoue).... 

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  • Nouveau cap, nouveaux projets

    En regardant mon titre je me dis que gérer deux blogs en même temps (çui-ci et Le Végétal), même en écrivant une note tous les 5 mois, n'est pas chose facile lorsque l'on souhaite exprimer la même chose sous deux angles indissociables et distincts

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  • Pourriture nurglesque

    J + 26 après impact.

    Cherchant quelques affreux mots pour titrer ma nouvelle note de ce soir et illustrer mon état général physique et plus particulièrement celui de mon tibia droit, je me suis laissée aller à quelques lectures instructives de Doom, tout heureux que je m'y intéresse, bien entendu.

    Et, en deux paragraphes j'ai trouvé. j'ai ENFIN compris ! Comme les analyses n'ont rien donné d'alarmant, l'explication de cette quasi-absence de cicatrisation donc de guérison ne peut donc être trouvée que dans les arcanes du côté obscur, celles que certains soupçonnent mais que quelques rares élus voient. C'est tout simple.

     

    Je pense que quelqu'un, suppôt du boss ou himself en personne, m'a jeté de la pourriture de Nurgle ainsi qu'un de ses rejetons sataniquement moyen-âgeux et que ça a tout salopé ma jambe.

    Laissez-moi vous citer quelques passages : "Au lieu de simplement tuer son hôte, cette maladie le transforme lentement en un cadavre ambulant tout en dévorant son âme. La corruption mentale et physique qu'elle induit est si horrible que la victime n'a que deux choix : se donner la mort ou se soumettre à Nurgle et répandre sa pestilence, et se réjouir de ses bubons et de ses chancres jusqu'à ce que la mort vienne mettre un terme à ses souffrances. Ce n'est qu'à cet instant que la victime réalise son véritable malheur, car elle renaît dans le Royaume de Nurgle sous la forme immortelle d'un Portepeste".

    Photos du dégénéré ci-dessous :

    GrandImmonde1.jpg

    Et aussi : "Il est heureux que les intestins d'un Grand Immonde soient à l'abri des regards des mortels, car ses sacs gastriques et ses entrailles renferment les pires immodices. C'est dans ces méandres obscurs que naissent les Nurglings. Ils commencent à l'état de foetus de matière fécale qui se nourrissent des sécrétions qui suintent des parois intestinales du Grand Immonde jusqu'à adopter l'apparence d'homoncules* à l'image de Nurgle. Une fois que le Nurgling a atteint sa maturité, les ondulations des intestins du Grand Immonde finissent par le faire sortir par quelque orifice, ou par l'expulser à travers ses chairs nécrosées, donnant ainsi naissance à une espèce de petit diablotin corrompu. [...] Les Nurglings se rassemblent autour du démon qui les a vus naître. Ils escaladent sa forme massive à la recherche d'ulcères confortables dans lesquels se lover, ou de replis chauds et humides sous la peau, et se disputent sans arrêt à causes de mesquines rivalités territoriales. [.... même si le tout est assez dément je termine, parce que vraiment, on voit que les auteurs se lâchent quand même pas mal, dans leur spécialité, et que ça me fait plaisir, comme une apogée linguistique bien relevée en pestilences diverses et variées...] De tous les démons, ce sont les Nurglings qui énervent le plus les Portepestes [qui, rappelons-le, sont des morts-vivants sans âme condamnés à porter la peste, c'est juste ça, leur taf pour l'éternité t sans week-end, c'est porter la peste, le boulot chiant !!! sauf que comme ils n'ont pas d'âme, ils s'en foutent, c'est des terminator sans états d'âme ni parole]. GrandImmonde2.jpg

    Ces derniers sont poussés par un instinct cartésien qui les force à tout énumérer, mais les Nurglings sont trop nombreux et tapageurs pour être dénombrés. tandis que les Grands Immondes les considèrent avec une affection toute paternelle, les Portepestes les voient comme une contrariété qui les distrait de leut tâche".

     

    *Homoncule : sorte de petite statuette d'homme" et "ce n'est pas un gros mot" d'après Doom, il en connaît des mots dont je n'imaginais même pas l'existence, mon HÔÔmme ! 

    1. Petit être vivant à forme humain, que les alchimistes prétendaient fabriquer ; 2.  Petit homme => avorton" selon mon Robert, cuvée 96, une bien "fameuse" année...

     Oulà ! J'ai failli être ensorcelée ! Etrange sensation de mieux comprendre les choses, des mots, quand on les lit plutôt que quand on les entend. HEIN ?

     

    Pour appuyer mes dires et revenir sur ce détail immonde, lui aussi, qu'en est-il de la fibrine, cette vilaine peau toute pourrie ? Que, si le produit que l'infirmière met chaque jour ne la décape pas, elle devrait, je cite, être "découpée", et cette menace à deux balles jamais réalisée, on me l'a balancée au moins 6 fois dans la semaine, stressant.

    Sauf que.

    Sauf que ce matin, l'infirmière m'a facturé 76 boules et parlé d'emla-éventuellement-pour-la-suite-des-opérations, ce produit crémeux en forme de pansement que l'on met, traditionnellement sur une peau saine, mais pour moi on fera une exception, pour soi-disant (parce qu'à mon avis, ça marche mieux sur un bébé que sur moi, ils ont essayé à Bégin, c'est comme s'ils m'avaient mis de la vaseline, oh, c'est mignooooooooon, le truc qui sert à rien mais qui colle aussi la peau, mais fallait pas !) anesthésier la peau avant une piqûre, un vaccin, une incision, des points de suture, bref, une agression corporelle douloureuse imposée par le corps médical parce qu'elle s'avèrera bénéfique, qu'il dit, le corps, médical, et, de guerre lasse, fatalement acceptée par le malade-tout-pourri.

    Heureusement que mon chéri me fait découvrir l'impressionnante et passionnante littérature des jeux de figurines ("et pas jeux de rôôôles !!", s'indigne l'Hômme, "ça n'a rien à voir, y'a que l'univers qui peut être commun", blabla, blabla.....) à savoir "Les démons du chaos" de Ouaramère 40.000, et j'avoue que c'est vraiment très intéressant, quand on s'y penche un peu volontairement, ça existe depuis 30 ans, toutes ces années d'imagination et de plongée avec délices dans la terminologie du gore et de l'insoutenable, le tout étant pour-de-faux, comme de bien entendu, ça ne peut pas que prêter à la perpléxité ou à la diabolisation ! Voyeeeeez ? Putain, j'ai mâââââl. Pardon. C'est vrai, avec tous ces éclaircissements, il va peut-être falloir que je m'entraîne, silencieusement, à apprécier mon infect état.

    Je songe de plus en plus à créer un blog sur la base du contenu de l'HÔmme qui est incommensurable-étendue-documentée-scannée-gynécologisée-détaillée-baguettisée-zippée, dit-il... M'enfin pour l'instant j'ai déjà plein d'idées et l'Homme qui poète, m'affirme, je cite (allez, oui, une dernière, c'est dimanche !) "Je ne demande pas mieux que d'avoir des larbins.... euh, d'avoir un coup d'main", n'a toujours rien sorti... des grimaces, oui, des grimaces !

    Vous comprendrez bien qu'après toutes ces atroces descriptions, je ne sois plus malheureusement en état de vous montrer d'autres photos, chère Félée, entre tous, et autres du même acabit.... Je vous épargne, c'est plutôt sympa, mais de mo point de vue c'est surtout parce que la forêt grandit, grandit. Cependant, soyez assurée, chère Alva, que pour vous distraire de vos herculéens travaux, si ça vire aux couleurs chatoyantes de l'arc en ciel, je vous préviens, clichés à l'appui.

     

    Bon et bien, deux efferalgan pis je crois que je vais aller me soumettre, moi, quand faut y aller, faut y aller ! Et c'est bien l'unique, seule-contre-tous et dernière solution à mon état actuel. Doom, qui vraisemblablement n'est pas encore traumatisé, m'a dit qu'il connaît bien Nurgle... Voyez ? (je me mets à South Park et ça ne se voit même pas !).

  • Etre là mais pas tout à fait

    Quand je dis que souvent Cher-et-Tendre est très absorbé par sa passion, ce n'est pas la technologie numérique qui me donnera tort. 

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