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Fannyversaire !

Salut mademoiselle Fanny !

 

Aujourd'hui, tu as 30 ans. Béh ui !

Mais c'est pas grave ! 30 ans c'est quoi ? C'est un 3 et un 0 qui s'associent, basta !

Des chiffres qui se suivent et des événements de vie qui ne se ressemblent pas, des comparaisons avec les autres (mariées-fières-de-l'être-ou-pas-mais-casées-avec-chéri-et-enfant) à ne pas faire car chaque situation, chaque personne, chaque objectif est différent suivant les gens.

Toi tu te créés ta vie, toujours prête à rebondir pour t'en sortir, avoir mieux et plus, pour l'instant sans attache mais c'est pas plus mal, crois-en ta vieille crevarde de cops !

Tinkiète, crevette, 30 ans c'est le bel âge !

On réfléchit plus sur soi et pour soi, on fait fi un peu plus des traditions parce que notre vie, c'est vraiment pas la vie rêvée de nos parents et on agit, bousculant les convenances tout en prenant soin de soi.

Comme je suis au boulot mais que j'avais quand même envie de t'offrir une carte, la voici !!!!!

 

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Et y'a 30 bougies !!! Si ! Si ! J'y tenais, ma belle .........

;-)

Commentaires

  • c'que c'est bon d'avoir des amis ...

    Merciiiiiiiiiiiiiii Muriel !!!!

    Merci beaucoup, pleins de bisous à toi ainsi qu'un avenir resplendissant plein de bonnes surprises !!!


    BISOUS

  • De la part d'un intrus bienveillant (ça me gêne un peu de m'immiscer dans un dialogue relativement privé), un compliment et une question.

    1/ J'aime ce que vous dites ci-dessus et, plus encore, comment vous le dites. Fanny a de la chance d'avoir une telle amie.
    2/ Comment avez-vous eu l'idée du mot (formidablement poétique) "fraguelures" ? Je ne me rappelle pas l'avoir lu ailleurs, et j'en ai cherché en vain des occurences sur la toile. Après être passé ici une première fois, je me suis surpris à y repenser : "éparses fraguelures"... mazette ! quelle invention ("fraguelettes" aurait aussi été possible). La question vous a peut-être déjà été posée, mais je n'ai pas eu le temps de parcourir les archives de votre blog. Ou bien est-ce un secret...

  • Muriel, let me introduce you Msieur Hilarion, mon chevalier servant inconnu de l'année !

  • Pas vraiment un secret, M'sieur Hillarion, et vous êtes le 1er à me poser la question, ce dont, autant vous le dire, je vous suis infiniment reconnaissante et que le temps de vous répondre, je me suis souvenu de ma démarche et j'en ai profité pour la révéler dans mon A propos (rien que pour vous balader dans mon blog, voui !).

  • Enchantée Msieur Hillarion, chevalier servant inconnu de l'année de Melle Fanny ma copine !

    Au passage, d'ailleurs, merci du compliment !

    Bon je vais aller (vraiment) bosser mon A propos !

  • L'incompréhension informatique m'habite, et rien n'est sexuel dans cette phrase. J'ai bien modifié mon "A propos" mais cela ne s'actualise pas après moultes enregistrements, déconnexions et reconnexion (et ça c'est pas mon pc piske je suis au travail, chuuut).

  • Enchanté aussi !
    Merci pour les précisions relatives à votre désormais fameuse invention (©) : quand je pense qu'aucun peintre n'y a pensé pour désigner son travail, qu'aucun astronome n'en a eu l'idée pour qualifier, au hasard, le nuage de Magellan, ... il a fallu attendre que vous arriviez et hop ! Eurêka !

    À propos de vous : de moults périples géographiques (dont un passage par Ponton la Belle) en moultes péripéties historiques, de la maladie à la (re)naissance, de la douceur de vivre au croquage des obstacles, de la dispersion à la cohérence... un parcours sucré-salé, que le récit suggère sans trop révéler.

    À propos de moi : j'apprécie beaucoup "Muriel" qui à mon humble avis est un des plus beaux films de Resnais, et je vous jure que son titre m'évoque davantage de choses positives qu'« hyper-chiantes » ;-)

    P.S. : puisque gourmande vous vous avouez, un supplice de Tantale dans la signature vous trouverez

  • Très belle ta page à propos. Je te prête mon Hilarion pour les compliments mais tu me le rends hein ?!!

  • Supliciée je suis car la page de votre signature, Msieur Hillarion, ne s'ouvre pas alors que mon estomac, privé de petit déj bicoz réveil trop tardif, en gargouillait déjà d'impatience !

    Pardon pour "Muriel", pour Resnais, j'ai vu ce film in bad mood par temps de pluie, pas les meilleures conditions réunies, mais il y était quand même question de viol, c'est pas hyper happy tout d'même !

    Vous connaissez Ponton, il me semble ? Un compatriote ? ça m'a fait tout bizarre de lire "Ponton la belle", un bon flash-back dans mes souvenirs !

    En tout cas je vous remercie de prêter attention à mes idées, mes ressentis, c'est un peu ça, la magie de l'écriture sur la Toile.

  • Merci Fanny, pour mon A propos, suis pas mécontente, et puis il datait vraiment beaucoup.

    En même temps il est pas qu'à toi, le Msieur Hillarion, si ? Je plaisante !!! Il a pas de blog ? J'aimerais bien le lire... Mais je ne te le pique pas, I promise.

    Kisses

  • T'inquiiètes !!

    Sinon y'a l'autre film là : Muriel ! Avec la grosse qui chante Abba ! C'est pas çui là d'Alain Resnais si ?!

  • Nan c'est trop pas celui d'Alain Resnais (qui date du siècle dernier comme vous et moi, ma chère, donc 1963) et d'ailleurs j'ai a-do-ré cet autre film avec la grosse qui chante Abba !

    Tout à fait moi dans l'esprit, la gaucherie et les rêves, sauf que je n'ai pas épousé un beau gosse sportif qui n'aurait voulu posséder que ma nationalité !

    Limite la Muriel du film elle est beaucoup plus à l'aise dans son corps et dans sa tête, mine de rien, parce qu'elle ose beaucoup plus et n'a rien à perdre du tout.

  • Bonjour à vous et à Fanny la prêteuse pas bêcheuse.

    Désolé pour votre estomac vide ; de mon côté, le lien fonctionne : mais, allez savoir... « l'incompréhension informatique »...

    À propos de "Muriel", que je n'ai pas revu depuis un certain temps (pourquoi pardon ? je vous rassure, pour moi vous êtes d'avance toute pardonnée) : il a pour sujet la question du refoulement de la guerre d'Algérie dans la société française. À cet égard c'est un des films les plus audacieux des années 60. Il établit un lien entre la petite et la grande histoire (quelques personnages réunis dans la ville de Boulogne détruite en 1944-1945 ; l'un d'eux revient de la guerre d'Algérie, il évoque une mystérieuse Muriel qu'on ne voit jamais ; etc). Surtout, la forme, hyper-maîtrisée, est à la hauteur de cette ambition. Pas très happy, certes, austère, mais ce que je voulais dire c'est que s'il a inspiré votre prénom, c'est un choix qui ne manque pas de goût, vous auriez pu tomber sur un navet. Quant au "Muriel" australien, je ne l'ai pas vu. Et quand je pense qu'il n'y a toujours aucun film intitulé "Hilarion" :-)

    Amusé de « vous avoir fait tout bizarre », je dois toutefois vous avouer que je ne connais Ponton que par l'intermédiaire d'une amie qui y a résidé pendant son enfance et qui en parle avec nostalgie.

    Pas de Hilarionblog encore, mais j'y songe, peut-être d'ici quelques temps. Je crains que ça ne réclame beaucoup d'investissement, et je suis un peu paresseux. Rien que de songer qu'il me faudrait satisfaire régulièrement un exigeant lectorat féminin... À propos j'ai remis à manger dans ma signature, à tout hasard, pour le dessert.
    Salutations amicales

  • ouais...

  • Mmmmmmhhh ! ça c'est du vrai dessert comme je les aime !
    Peut-être que votre amie qui a vécu à PN a eu mon père en français ? (the question qui tue). Si elle se souvient d'un M. Dufour provoc' et jurant à souhait, cherchez pas c'est lui et dans ce cas, nous nous sommes probablement croisées.
    Pour mon prénom, en même temps, connaissant le phénomène décrit ci-dessus, si ça se trouve il l'a choisi en souvenir ému d'une ex, mais bon, ce qui est fait est fait !
    Et pourquoi n'y a-t-il pas de film Hillarion, c'est tout d'même un comble !

  • ba bon anniversaire alors

  • Rebonjour (oui, j'ai survécu à la question qui tue).
    Si j'ai bien calculé, la période (1988-1991) ne correspond pas, mais dès que je la verrai je ne manquerai pas de lui en parler. En parlant de petites madeleines proustiennes, sauriez-vous si l'écrivain Alain Mabanckou, qui est né à Pointe-Noire et a reçu l'année dernière le prix Renaudot pour "Mémoires d'un porc-épic" (pas lu, je me suis contenté pour le moment de faire un tour sur son blog), parle de sa ville natale dans ses romans ? D'autre part il existe un site, pontononline, qui propose de retrouver d'anciens camarades de PN.
    Sinon, vous avez remarqué que je fais une fixation sur les titres de films (déjà "Fanny" d'après Pagnol...), mais ça doit pouvoir se soigner. Et j'aime aussi "Rabbi Jacob", by the way.
    P.S. : félicitations pour votre bout-de-chou, je le trouve assez "trognon", comme on dit.

  • Scuzez msieur Lefuneste, mais "Fanny" c'est avant tout un titre de livre. Sinon y'a aussi Jeanne d'arc.

  • Evidemment la signature est un accident, il s'agit bien de moi.

  • Parmi les nombreux "Jeanne d'Arc", j'ai un petit faible pour le Preminger (celui avec Jean Seberg) et pour le Rivette (celui avec Sandrine Bonnaire). Fanny, merci de surgir fort-à-propos pour nous rappeler que, tout de même, le sujet de ce billet était votre anniversaire. Joyeux anniversaire encore une fois, Mlle F.

  • Je connais Pontononline, créé par d'anciens camarades de classe, je m'y suis inscrite.
    Notre période là-bas était de 1989 à 1991. On est parti bien après que ça ait commencé à déconner là-bas car on nous avait dit que les profs partaient après le curé-perclu-de-palu. Aussi, quand on a découvert un cercueil devant notre immeuble, ce qui n'est pas de bon augure, nous sommes allés nous installer au lycée quelques mois.
    Par contre je ne connais pas Alain Mabanckou, étant tout sauf intello et littéraire (au grand dam de mes géniteurs qui finalement se sont fait une raison), mais j'irais voir son blog, au cas où je reconnaîtrais des trucs autres que la description de la-gare-copie-conforme-de-celle-de-Deauville.

    Et merci pour le bout-de-chou, il est chez mes parents pour 2 semaines et pour le coup il veut sa maman ! Au tél c'est un peu difficile mais c'est le lot de tout parent.

  • Brr... Flippant, le coup du cercueil. Alors que quelques poupées percées d'aiguilles auraient suffi (je plaisante). La gare, on m'en avait parlé, en effet.
    En ce qui concerne la séparation momentanée : les parents ont eux aussi besoin de récupérer un peu (les petits monstres, ce n'est pas toujours de tout repos).
    Bon courage pour le boulot (bonus dans la signature)

  • Sauf que les poupées c'est pas trop le trip au Congo, et les cercueil c'est très parlant, tout comme le bras coupé à la machette d'une prof qui refusait de donner ses bagouzes.
    Oh lala ! La tour Mayombe, centre administratif de la ville, je m'en souviens ! Et le Buppy, notre unique lieu de rendez-vous des jeunes à l'époque où on pouvait déguster des hamburgers presque comme au Mac Do, des fous rires, des confidences, de la drague pas voilée, des points de départ pour la plage, les fêtes..... Pfiou ! Tout me revient à l'esprit, nostalgie, nostalgie, ça me fait penser qu'aujourd'hui est la Saint Frédéric, qui était mon 1er amour là-bas et ailleurs... allez, je me fends d'un texto ! Incohérente est mon attitude, je sais.

  • Bonjour
    Décidément, votre parcours fourmille des anecdotes les plus... tranchantes ! Mais ce n'est pas une spécialité congolaise, n'oublions pas que Robespierre avait lui aussi le "raccourci" facile ! :-)

    Je ne voulais pas prendre autant de place, mais l'évocation de vos souvenirs a le don de relancer la curiosité... Le Bupy a l'air tout petit, non ? Comment faisiez-vous pour tenir tous devant le bar ?

    Puis-je aussi me permettre d'ajouter un conseil qui me tient à coeur, à propos de ce qui semble causer « le grand dam de vos géniteurs » : essayez de vous procurer "Comment parler des livres qu'on a pas lus ?" de Pierre Bayard (éditions de Minuit, paru en janvier 2007, prix : 15 euros). Vraiment, ce n'est pas une blague (vu le titre du livre, ça pourrait être mal interprété), c'est un des mes livres de chevet, je le conseille souvent autour de moi. Pierre Bayard est un type sérieux qui ne se prend pas trop au sérieux : signe d'intelligence. Lui même prof de littérature (à Paris VIII), il explique qu'il est souvent amené à parler de livres qu'il n'a pas lu devant ses étudiants, et même parfois devant l'auteur du livre lui-même. Il raconte comment Paul Valéry a fait l'éloge funèbre de Proust sans avoir lu un de ses livres en entier ; ou encore, comment Montaigne, qui perdait la mémoire, n'avait plus le moindre souvenir de ce qu'il avait lu... Même à lire beaucoup pendant une vie entière on ne comblerait pas ses lacunes, il y a toujours un livre essentiel qu'on n'a pas encore lu. Lire Pierre Bayard permet d'être pour toujours décomplexé, et les idées qu'il développe sont captivantes. Le livre débouche sur des conclusions assez surprenantes, contraires aux usages et aux idées reçues. Bon je m'arrête là. Intarissable est mon bavardage, je sais.

  • Certes

  • Intéressant, le bouquin, je vais essayer de me le choper, très bonne idée !
    Et en attendant, j'ai toujours du vocabulaire usuel & presque logique pour nous, utilisateurs du web, qui les traumatise plus que quand on s'est mis vaguement au munutukuba ou à l'arabe !

    Le Bupy est effectivement riquiqui, mais on se prenait une table et on était rarement plus de 6-7 donc ça allait.
    Les autres allaient souvent dans les "clubs" ELF de leurs parents où mes amis et moi n'étions pas admis puisqu'inconnus.

    Mais non mais non, votre bavardage est intéressant, étant moi-même une grande bavarde je ne saurais vous jeter la pierre, Pierre, enfin, Msieur Hillarion...

  • BON ANNIVERSAIRE FANNY à J+8 !

    On ne t'oublie pas, ma poule !

    Mais parler du Congo avec ton chevalier servant inconnu est beaucoup + sympa que de ne pas en parler du tout, le site des Anciens étant inactif & je ne suis, de toutes façons, plus en contact avec mes anciens potes...

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