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  • Un week-end de mai où j'étais

    Photo de mon p'tit d'homme affrontant un grand monsieur rouge à la Gencon et du ouik dernier au square avec tom-tom "affligé" de sa fausse varicelle....

    Et un Homme qui cette fois-ci a pris des photos, c'est beau.

    D'habitude je déteste me voir en photo mais j'aime en avoir quelques-unes de mon fils et moi car il ne faut pas croire que Thomas n'a pas de maman ! Alors là, na !

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  • Soleil & Repos

    Dommage pour ceux qui partent en Bretagne, Espagne et autres, il pleuvra jusqu'à dimanche. Alors pas d'énervement sur la route, d'accord ?

    En revanche, ICI, c sera l'été. Boooooooon ! Putain mais pourquoi y'a pas la mer tout près, ici ?? 

    Mon tibia a voulu embrasser un plot en béton, on ne saura jamais pourquoi, à ce moment là, vers 8h10 ce mercredi 7 mai 2008, moins de quinze pas après avoir quitté mon immeuble, mon regard était tourné exactement à l'opposé de cet autre membre qui est à moi et qui est donc censé m'obéir. Le choc a été très violent et j'ai connu la sensation assez déstabilisante de gesticuler dans le vide. Fort heureusement je n'ai croisé personne de ma connaissance, pas bien difficile, en même temps, vu que pour une fois, je partais remarquablement tôt. Reprenant mes esprits, mon sac et ma dignité j'ai repris le chemin, presque pas clopin-clopant, du métro puis prendre le pc pis enchainer mon kilomètre du matin, du tout plat interminable (à deux fortes tentations commerciales jardinesques) qui rafraîchit les gambettes où le 325 passe souvent à côté de moi sans s'arrêter. Il pourrait m'inviter à monter, me rapprocher de 3 arrêts mais, très souvent, parce que sinon, c'est pas drôle, je suis entre deux arrêts suffisamment éloignés pour que je n'aie pas spécialement envie de bousiller mon souffle à tenter d'essayer de lui courir après*.

    Arrivée au boulot, j'ai quand même regardé à quoi ça ressemblait, cette saloperie de douleur lancinante. Un petit cratère sur le tibia, croûteux de sang à peine coulé et parsemé de peau déchirée.

    Même aspect même douleur ce soir sauf que le tibia est gonflé, en plus, comme ça, je ne vais pas m'ennuyer, ce long week-end.

    Bonne nuit et profitez bien

    *Règle n°1 du candidat à la Longue Marche dans Marche ou Crève de S. King.

  • Utopie réaliste au service des vieux, le site

    Il y a un an je vous parlais de la Maison des Babayagas, projet de lieu de vie solidaire, créé par des copines enthousiastes, réflexionneuses et libres de penser. Et bien le site est officiellement ouvert à tous ceux que cela intéresse-concerne-motive, etc, et le VOICI !!

  • Baby-sitter attitude

    Je tiens à répondre à la baby-sitter déçue directement par une note, allez, elle le vaut bien, avec son blog. Enfin je n'appelerais pas ça un blog mais plutôt un site purement commercial appelé aladom qui propose des gens pour faire le ménage, le jardinage, les chiottes, les paquets cadeaux, la bouffe, l'animation-le bain-l'aide aux devoirs des enfants et autres services non précisés pour donner encore plus envie d'en savoir plus, chez vous, mesdames et messieurs. En vrai j'en rêverais, c'est clair, mais tout ce qui est fait par soi-même est gratuit, c'est toujours ça de gagné.

    Dites-moi, jeune baby-sitter en cours, ces parents-là, ils vous ont dit qu'ils ne vous trouvaient pas sérieuse ou alors avez-vous interprété le fait qu'ils ne vous rappelent pas par une mauvaise appréciation de votre attitude ?

    Vous savez, des propositions j'en reçois pas mal et j'ignore un peu comment gérer tout cela parce que la plupart du temps je suis dépannée par la famille ou alors, finalement on sort pas...
    ;-) 
    Alors pas trop de parano.
    Et puis de toutes manières, c'est peut-être mieux comme ça, non ? Si les manières ne vous conviennent pas, autant ne pas conclure avec une telle famille.

    Et puis aussi, vraiment, il faut sourire, les baby-sitters, SOURIEZ bordel ! VRAIMENT !!! Et lisez cette autre note. Parce que perso, j'ai eu 5 appels, les jeunes filles semblaient mornes, pas spécialement enjouées du tout, le genre familier totalement dénué d'accroche et enveloppé dans un brouillard parfois inaudible ou mâché. Le genre qui semble appeler devant une mère énervée, menaçante, suggérante. Le genre qui se fait chier direct, à peine on a dit "allô" qu'elle souffle ! C'est un entretien d'embauche téléphonique, voyons !!!! Un peu de finesse ! J'en ai rien à carrer des études mais bon, faut pas abuser non plus. Est-ce que, avant d'appeler, les baby-sitters s'entraînent devant leur glaçe, devant quelqu'un, répètent leur discours, anticipent les objections et choisissent leur accroche ? C'est pas dit. Je ne sais pas, ça ne s'entend vraiment pas et du coup, et bien, ça ne donne pas envie. Tout comme une attitude verbale débilitante de pot-pot, sou-soupe, cou-couche, tu-ture, oki, louliloula, kikou et j'en passe m'attaquerait. C'est comme ça.

    Et ça concerne quand même nos enfants. Si j'ai l'impression d'avoir la petite fille de la famille Adam's au téléphone, ça ne me donne pas une top-génialââle-envie de l'embaucher pour garder mon enfant, mon FILS, ma bataille !

    Voyez ?

  • C'est encore loin, l'été ?

    Joyeux 1er mai. Il fut un 1er mai où je fus licenciée pour faute lourde, mon 2ème virage de ma vie, le 1er s'étant illustré lorsque, toute nouvelle enfant de choeur à Agadir, je choisis un cordon rouge pour ceindre ma taille plutôt que la blanche qui m'était attribuée et qui me semblait coloriquement moins contrastante que mon aube où je ne sais quoi.

    Heureusement aujourd'hui je ne travaille pas. Semaines étranges où les congés embrouillardisent la communication entre sociétés et où on bosse plus chez soi qu'au bureau. Parce qu'ici aucun dossier n'est bouclé ! Il y a des tonnes de trucs à trier-payer-renvoyer-ranger-nettoyer-laver-étendre, du style ça ne s'arrête jamais, y'en a toujours encore et encore, et plus encore quand on remet au lendemain (minimum).

    Serais-je plus faite pour être servie ? Certainement !

    Je rentre d'un achat de pince coupante pour consolider les 3 pergolas bricolées (avec du raphia de papier orange, oui c'est balo je sais) dans l'encadrement des fenêtres ; après j'avais envie de m'enfuir mais je ne savais même pas où aller. Si j'avais eu un passeport, j'aurais foncé à Orly pour un aller simple direction Agadir, le genre de coup de tête qui ne se voit que dans les films et s'applique pour les gens qui ont un passeport, bien entendu. Et du fric. Oui, malheureusement, pour partir au soleil il faut impérativement avoir de l'argent en plus pour les loisirs.

    A moins de prendre un deuxième emploi le moins astreignant possible, c'est un doux projet qui me semble trop lointain pour être réaliste. Restons-en à cette merveilleuse pince coupante à seulement 3€95 qui va me permettre d'utiliser ma bobine de fil de fer pour supporter le raphia et éviter un effondrement ridicule.

    Thomas a la varicelle, les boutons pointent au fur et à mesure de la journée et il est censé rester cloîtré à la maison tant qu'il est malade et contagieux. Il est très grognon et peu coopératif et je crains que si je ne l'aide pas à ranger sa chambre (bref que j'en fasse les 3/4), je ne sois obligée, question de crédibilité, de jeter dans un sac poubelle, comme prévenu ce matin, tout jouet n'étant pas dans un panier et tout truc jonchant le sol de sa chambre. Même pas crié, juste expliqué calmement. Le dilemme l'a effrayé et, aussi rapidement qu'un escargot, s'est empressé de rapporter et jeter 5 jouets un par un dans sa chambre, le défi du même-pas-peur dans les yeux. 

    J'envisage de l'aider à ranger sa chambre à condition qu'il s'y mette sérieusement, sur le thème du jeu, que sais-je, de l'amusement.

    Ah. L'Homme vient de m'annoncer qu'il a rangé la chambre de Thomas pendant que ce dernier regarde des dessins animés. Il est tout à fait d'accord avec l'idée de jeter les jouets, propose de préparer une poubelle spéciale et d'aller redéfaire toute la chambre, ce dont je le dissuade, on va trouver un autre plan.

     

    Déjà 17h, la journée est finie. J'ai le bout du nez tout froid, un bain serait le bienvenu mais avec la lessive en cours, même pas dit qu'il y ait de l'eau chaude avant 20h, d'ailleurs c'est bizzarre quand même, ils devraient prévoir en fonction du  nombre de gens, peut-être qu'on se fait gruger de quelques dizaines de litres d'eau brûlante ?

    En même temps j'ai de quoi faire, au lieu de martyriser le clavier. Déjà, Thomas tente d'échapper à son père auquel j'ai proposé la bonne idée qu'ils aillent ensemble faire de petites courses et se défouler dehors, je pourrais aller l'aider. 

    Et puis le sol de ma propre chambre est jonché de pots, coupelles, arrosoirs, bouteilles d'eau, terre, billes d'argiles, tas de fringues  laver, tas de fringues à donner/virer, sac-plastique-poubelles, tas de fringues à ranger (complétés par piles plus ou moins stables sur le lit), bottes, bottes cassées à jeter depuis 1 an, sacs de voyages, poussières, cheveux (de moi sans doute), miettes, terre, billes d'argiles faisant très mal aux pieds non chaussés, moutons (laineux), tongs, tendeur à linge prétendument hyper solide qui se disloque au contact, avec des espaces difficilement accessibles et j'en passe.

    Et je bosse demain.