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Défi ! - Page 3

  • Vas-y, traite-moi pas d'Mickey !

    Hier soir, alors que je revenais de ma petite escapade chez l'épicier (à qui j'ai consciencieusement donné le compte juste de 90 cents en pièces de cuivre pour 1 L de lait, pour ça, ça lui fait encore plus de maille et ça me décharge), j'ai été sifflée par 2 jeunes gens dans ma rue, sous mes fenêtres, enfin à leur place habituelle.

    Au début je pensais même pas relever et puis, mûe d'une certaine impatience liée à un agacement sans limite pour leur pratiques zyvatesques que je réprouve, je suis allée vers eux.

    Moi : "Bonsoir, c'est pour un renseignement. J'aurais aimé savoir jusqu'à quand, en termes d'années, comptiez-vous faire du bruit, ainsi, le soir, tard, parce que même avec les double-vitrages, comprenez, c'est un peu lourd. Quand même, vous n'êtes pas trop fatigués, le matin, quand vous vous levez pour aller bosser ?" (elle est candide, elle est mignonne !)

    Les 2 : "Bosser le matin ? T'es ouf ???? Pour quoi faire ? Nous on veut pas bosser pour 1200 euros net par mois, y'a moyen de se faire plus d'argent en se fatiguant moins. Ici c'est chez nous. Nos parents habitent dans le coin et nous on est là depuis 13 ans, madame, j't'ai jamais vue ici, moi, j'étais là avant".

    Moi : "J'ai l'art de me rendre invisible. Par contre vous, et d'autres, hein, je ne vous accuse pas, je vous vois souvent en bas de mes fenêtres et, je ne sais pas, moi, des fois j'ai l'impression que cette rue c'est comme chez Mickey, et...."

    L'1 des 2 : "Vas-y, traite-moi pas d'Mickey, attention ! C'est grave, ça, oh !!! Tu vas voir de quoi chui capable !"

    Moi : "Alors déjà, je ne vous ai pas traités de Mickey, sinon j'aurais dit Espèce de Mickey, ce qui n'est pas le cas, n'est-ce pas ?"

    Reconnaissance en hochage de tête acquiescant de mes deux interlocuteurs, calmés par ma rhétorique (et mon inconscience ?).

    Moi - "Donc je disais, des fois, vu que la rue est toute petite et mignonne, on pourrait croire qu'on est à Disney Village et que personne n'y habite. Or c'est tout le contraire, et honnêtement, moi ça me fatigue de vous entendre communiquer comme si on était à la Bourse de Paris alors que ce n'est pas le cas, et ce jusqu'à minuit passé".

    L'1 d'eux - "Ouais ben à minuit y'a plus de bruit, tout le monde est déjà parti (ricanements complices, roulage de joint en un temps record). Ici c'est chez nous, c'est à toi de partir si t'es pas contente. Nous on est bien, là. Et on préfère kiffer notre vie de jeunes et galérer notre vie de vieux que l'inverse".

    Moi - "Certes mais dans quel état ! En tout cas je voulais prendre le contact avec vous. Si vous ne voulez rien entendre, c'est votre droit. Comprenez aussi qu'on puisse être gênés et que si vous voulez du respect, il va un peu falloir nous en témoigner aussi. je trouve ça un peu dommage de passer sa journée et sa soirée à pas branler gran-chose que vos propres égo, maintenant si c'est votre truc, pourquoi pas, mais je ne sais pas, vous avez peut-être un rêve professionnel, associatif... caritatif ... ?".

    Hennissement ricaneur.

    L'1 d'eux - "Mais on veut pas travailler ! T'inquiète, je penserais à toi vers minuit, une heure du mat, quand je hurlerais un peu trop fort".

    Moi - "Bon ben ok, merci, bonne soirée".

    Et je repartis dans mes pénates, mon litron de lait sous le bras, tremblante de la tête aux pieds.

    J'avais résisté à ma grandissante envie de le leur éclater en pleine gueule et je le regrettais, tout bêtement....

  • Ôde à Valérie Damidot

    Chère Valérie Damidot,

    J'ai cru remarquer que votre apparition sur le petit écran faisait soit des afficionadas/dos bienveillants, reconnaissants, complices et demandeurs, au cas où, pour la plupart de ce que j'ai pu en lire, en tout cas, soit des jalouses (souvent ce sont les nanas qui cassent, z'avez remarqué ?), des malaimables souvent analphabètes mais qui ont bien le droit de critiquer (tout le monde peut, c'est le monde merveilleux de Will Bad Bill du Web) ou peu conscients de l'impact que ce genre d'émission a sur les gens, de plus en plus, mais il faut un peu s'y intéresser soi-même, force est de le reconnaître. En effet, les Français consacrent près de 31% de leur budget à la maison, le marché de la décoration a réprésenté en 2003 plus de 6 milliards d’euros de chiffre d’affaire et, pour 63 % des français, s’occuper de son intérieur constitue une véritable source d’épanouissement

    Mais laissons là jaloux et autres réfractaires à l'envie de réaliser soi-même avec l'aide du duo de choc, bien entendu, un intérieur bien à soi, vous savez quoi répondre aux grincheux. J'ai pu voir votre émission ce soir, la fin, je dois bien l'avouer, parce que si on dînait devant Valérie Damidot, on ne ferait attention qu'à ELLE et pas aux nouilles qui tombent en-dehors du bavoir-bassine, et en plus on se ferait harceler pour regarder les zouzous ou inspecteur gadget ! Du coup, choubidou couché, embrassé, câliné, dorloté, rassuré et encore embrassé... Ouf ! On se pose dans le salon, entre adultes, enfin ! Tiens, je zappe pour voir ? Ohhhhh ! C'est ELLE !!!!! Je peux laisser, dis ? Et je vais arrêter de la mettre en majuscule, c'est pas correct, dis ! Et pis d'abord, le seul ici qui peut être en majuscule c'est l'HOMME, et la FEMME aussi, mais elle apparaît pas souvent, final'ment.

    Et ça tombait bien parce que vous étiez en pleine déco des chambres des trois garçons et l'HOMME a été subjugé. Oui. L'HOMME a halluciné, se disant que même la moitié des trucs ce serait super dans la chambre de notre loulou.... Et du coup j'ai tripé ! C'est clair ! Il faut s'y mettre ! Regrouper le matos, virer choubidou chez ses GP, l'HOMME chez sa mère un pote joueur, rameuter des volontaires dont mon père, chef-du-bricolage, le tout après brainstorming poussé et réfléchi (penser à appuyer candidature de brainstorming pour teuf du 22 mais en fait aussi recueillir conseils en déco).

    Mais je vais même pas essayer de vous faire venir, ma bonne dame, tout simplement parce que c'est pas chez moi ici où je suis, c'est de la presque (parce que faut pas trop se plaindre et que c'est une leçon pour qui croit qu'en regardant un ours dans les yeux, l'ours viendra se coucher sous ses pieds docilement, pas mort mais gentiment immobile) daube de location à très cher car fonctionnant entièrement, tenez-vous bien, à l'électrique (bon j'avoue là on s'asphyxie un peu au chauffage à gaz, une super alternative au grille-pain nauséabond, assez volumineux mais qui, en restant positif, peut servir de petite table à roulettes très haute, comme la chaise de Thomas, tout à fait, sur laquelle on peut poser des trucs uniquement si l'appareil n'est pas en marche, ça c'est primordial)  pour même pas un balcon en bonne et due forme.

    Bref, on se démerde, j'aimerais juste qu'on range, parfois tous en même temps, c'est vrai, mais voyez-vous, chère Valérie Damidot, parce que oui mais non mais je ne vous ai pas oubliée, vous êtes la star de ma note, je ne vais pas vous laisser vous échapper, ne vous éclipsez donc point en loucedé, voyez-vous, j'ai une légère tendance à la digression, paraîtrait-il, comme ça, ce n'est pas une maladie, ce n'est même pas contagieux (quoique... peut-être un tout petit peu génétique ?) et ça ne pique pas, enfin je crois.

    Donc je disais que si je voulais vous faire venir, pour bien faire il faudrait d'abord faire venir les déesses de la propreté alors que c'est pas la catastrophe, chez nous, mais bon, c'est quand même le merdier total (j'ai récemment appris d'ailleurs que j'étais connue notamment pour prévenir les personnes qui passent la porte d'entrée, de l'état de l'appart).

    De plus, pour bien faire, une fois encore, il faudrait aussi que je fasse venir super nanny, pour nous 3, on la suit pas des masses mais on prend des notes, ça aussi ce serait pratique, mais pour ça faudrait la télé. Et la télé et moi, on ne fait pas bon ménage, à commencer par l'acquittement de certaines taxes obligatoires, une attitude de salauds de pauvres, on se refait pas mais on progresse, en poursuivant par un tournage sous le feu des projecteurs, par la même chaîne où vous officiez, un sujet pas hyper fun mais fort intéressant pour qui connaît, pratique, excelle, subit (?) et les gens qui ont visionné ensuite, bien sûr ils pouvaient pas tout couper, des fois j'étais dans le champ, forcément, parmi les survivants, mais le reportage chez moi dans mon studio a été mis de côté, je pense, pour les émissions spéciales "ugly people", non encore sorties mais en projet.

    Mais bon tout ça pour dire qu'avant même que je songe à vous proposer de m'accompagner dans mes délires décoratifs, il faudrait d'abord que je termine tous les travaux que j'ai commencé au-dedans et au-dehors de ma personne, et que je sois, de préférence, propriétaire du logement à embellir. En attendant, oserais-je vous proposer ma candidature, plutôt que quémander un événement auquel je ne pourrais assister et participer ? Pour quoi faire, me direz-vous ? Ah ! Ah ! Et bien tout simplement pour gérer vos demandes d'infos, à moins que ce ne soit déjà accessible sur le net (et dans ce cas je m'incline bien bas de ne pas avoir fouiné plus attentivement - d'ailleurs c'est accessible sur le site de l'émission, bon et bien je n'ai rien dit.... et je m'incline, oui, oui !). J'ai d'ailleurs remarqué qu'à l'époque sur le blog de la traînée, vous étiez intervenue en leur rabattant leur caquet à toutes et ça m'avait bien plu ! Evidement, comme son nom l'indique, elle a ôté votre commentaire.

     

    Tout ça pour dire que j'aime votre ton, votre engouement pour les gens et leurs nids, votre envie du beau, de la récup', de l'arrangement, votre joyeuse et lumineuse pédagogie (et pas qu'en marouflage). Je connais cela moi-même, certes à moindre échelle, mais je n'ai de cesse, déjà, de changer les meubles de place afin d'optimiser toute surface méconnue. Même l'HOMME y prend goût et remarque plus volontiers les modifications ponctuelles.

    Pour "embellir" ces changements, je ne bosse qu'avec des éléments de récup', surtout papier, cordes, ficelles, plumes et tissus pour fabriquer des abats-jour. D'ailleurs, à part les spots de chevet, toutes les lampes de l'appart' sont habillées de mes éphémères créations, ce qui a l'avantage de changer de style quand cela ne me convient plus.

    Du coup vos émissions, tout en me faisant rêver, me donnent plein d'idées et surtout l'énergie et l'envie sans cesse renouvelée de faire du mieux avec du pas grand-chose. Là, voyez-vous, je referais bien la chambre de notre fils (ou alors on échange, mais c'est moins pratique) bicolore, blanc (bien passé) - vieux rose (très vieux à force), qui n'est pas vraiment lumineuse, mais je ne sais pas si ça vaut vraiment le coup de repreindre, peut-être vais-je rajouter de la lampe et quelques miroirs, et puis j'aimerais bien voir si un parquet se cache sous l'affreuse moquette. Affaire à suivre, donc.....

    Bon et bien je m'étais promis de me coucher tôt, "22h30, ce serait super... super... super", m'entends-je fredonner en écho dans le lointain passé d'une douche prise entre les torti-sauce-maison-steaks-surgelés et le bisou-dodo-beaux-rêves-bonne-nuit-encore-un-bisou-et-un-bisou-pour-toutou.

    Il est minuit 40, et pour me flageller comme il se doit, j'écrirais là sous vos yeux une expression qui m'insupporte un peu en ce moment depuis que j'en ai officiellement contrôlé l'orthographe parce que maintenant, j'ai l'air d'une conne : au temps pour moi. Voilà, c'est fait.

    Qu'est-ce qu'on disait ? Ohhh ! L'HOMME, en m'apportant très gentiment, mais quel amour parfois, celui-là, j'vous jure, un fromage blanc et de la crème de marron à mettre dedans, vient d'émettre un, je cite "renvoi non désiré et non désirable venant des tréfonds des profondeurs de ses entrailles"...... Bonne nuit les loulous !

  • "Solliloquations" personnelles

    L'HOMme gère son day-after-birthday en lisant, dérangé seulement 9 fois par un Thomas ne voulant pas se coucher qui d'ailleurs, sortant de nulle part et tchatchant d'entrée de jeu, m'a fait une trouille bleue lorsque je suis allée dans la cuisine, dans le noir, pour réchauffer ma tisane. A ce propos, il a été décidé en commun accord et compte-tenu de ma sensibilité maternelle qu'Olivier superviserait le coucher de Thomas (et que moi j'avais l'obligation pendant ce temps-là de ne pas intervenir, de me mettre loin et d'écouter mon MP3 à fond), et, indigne-mère-que-je-suis, je suis assez d'accord avec l'idée de fond, sauf que Thomas ne veut toujours pas s'endormir....

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  • En Bref

    Perdu mon portable pendant 2 semaines, retrouvé par le plombier derrière les chiottes (ah bon ? mais pourquoi derrière les chiottes ? Thomas ? Thooomaaaaas !), merci bocou monsieur, vous m'avez permis de garder encore un peu les coordonnées des quelques amis qu'il me reste et pour la peine, je vous ajoute dans mes contacts.

    Si, si, j'insiste ! Non mais..... pour des travaux ! Où il va, lui ?

    T'as pas vu ma bague Swarovski, Monsieur ? Ah ! T'as cru que c'était une bagouze-de-tirette ? Certes elle a bientôt 3 ans, la bougresse, elle est un peu usée sur l'anneau (quand on a un bébé, au tout début il faut se laver les mains dès qu'on a touché sa propre paume de main avec ses propres doigts, un truc à y perdre des doigts, j'vous dis !) mais j'ai perdu aucun brillant (quelle connasse a dit que les diamants étaient éternels ? Du coup mon HOmme, très cinéphile, ne m'offre pas de bijoux -de bague, rectifions, soyons honnête, en ce pluvieux lundi de meeeeeerde ! Bon certes mon anniv' c'est dans moins de 3 mois mais autant tâter le terrain, non ? De toutes manières il m'lit toujours pas, le bougre...  

    4 jours que j'ai repris le taf, finalement c'était mieux de rester à la maison même si on a rien fait dans le sens où on a pas bougé. Parce qu'ici, c'est morte plaine !

    Le genre d'ambiance glacée d'interro-qui-comptera-à-la-fin-dans-le-carnet-jeunes-gens-alors-étonnez-moi où certains s'épient pendant que d'autres vantardisent en pokerdisant et en manipulant un joli hélicoptère télécommandé moulé dans le polystyrène du carton de la télé qui-n'a-coûté-que 100-euros et que dans mon "bocal" j'essaie de me concentrer de manière hyper crédible (lunettes D & G, stabilos partout, stylos jetés hors de leur pot devant tant d'ingéniosité, mèches en bataille et prise de tête dans mes mains quand ça devient trop pointu et/ou un collègue passe devant mon bureau) sur un Guide d'Utilisation hyper intéressant pour sa pratique hyper simple de l'outil intranet de notre société hyper riche (pas moi, elle), en alternant avec la lecture de blogs pour ne pas m'endormir comme un éléphant de mer sur mon bureau, la bave fatale coulant sur mon cahier (ma hantise, que ça m'arrive au taf ! Dans le métro / bus je ne compte plus les occasions !). 

     

    Ajoutez à cela un bon gros mal de crâne pas encore guéri par le demi-doliprane 1000 partagé avec chouchou-collègue-1, toujours mieux vu que l'autre truc partagé avec chouchou-collègue-2 tout à l'heure.

     

    Allez, soyons positif, ma journée se termine dans 17 minutes (ouiiiiiiii !), les collègues s'installent pour un live poker. Limite ce serait le moment idéal pour imprimer en couleur les photos de vacances de Tom-Tom (oui je sais c mal, mais ce qui est gratuit fait du bien, aussi), mais j'attendrais un moment genre vraiment opportun genre demain matin en arrivant avant tout le monde (le 1er qui dit que pour ça il faudrait que je dorme sur place, je lui donne sa baffe ! Parce qu'arriver plus tôt -tout comme plus tard, d'ailleurs, je ne le nie pas non plus- je sais faire, c'est arriver pilou-poilou à l'heure que je sais pas, enfin quoi, vous connaissez la chanson ! Entre le métro et ses couloirs de correspondance blindés, le bus qui ne s'arrête même pas devant mes signes implorants alors que si j'avais traversé comme une sauvage, au risque de me faire écraser, certes j'aurais été devant l'arrêt et à même de prendre très calmement  c'te gros truc à trente douze roues !).

     

    Du calme, du calme, l'horloge de mon téléphone indique 17h52 (uiiii !) et celle de mon pc 17h49 (oh nooon !) et celle de mon portable.... ce dernier est éteint, comme il se décharge toutes les 57 minutes et que j'aurais besoin de sa toute-puissance toute relative pour capter cher-et-tendre, son meilleur ami et ma soeur pour aller au cinoche ! Comme je ne suis pas particulièrement arrivée à l'heure ce matin (9h13), je vais biaiser et en attendant, je vais ranger mon bureau, tiens... Oh pis non ! Qu'est-ce que je pourrais faire demain, sinon ?

  • Que des bonnes nouvelles !! Chap.II

    Nous allons emménager, fin juillet, dans un 3 pièces, un vrai, de 58 m² (donc on récupère 10 m² et le proprio plus de 180 euros, évidement...), dans notre immeuble, car nos gentils voisins se barrent pour s'installer dans un appart qu'ils viennent d'acheter.

    Il y a donc un vrai couloir (point de couloir où on est VS surface indécente de couloir, que dis-je, presque hall de réception dans l'appart précédent), 2 vraies chambres (donc pas de douche ou de chiottes entre les soutifs et les chaussettes) et une vraie salle de bains avec baignoire et chiottes séparées par une porte, le rêve !

    D'ailleurs quand Thomas tente de nager dans le bac de douche mais que ça coince, en ce moment je lui dit de pas s'inquiéter, que bientôt on aura une baignoire pour nager, du coup on crie "ouaiiiis ! on a gagnééééé !!!", à l'heure du bain, je le conçois, on est un peu golios, mais c'est un des rares moments privilégiés où on a pas à se préoccuper des voitures sur la route, de la main à donner impérativement pour traverser et des flaques à claquer (d'ailleurs je tiens à préciser que quand je ramène Thomas à la maison, je l'encourage presque à claquer de la flaque, parce qu'il a besoin de se dépenser et que petite j'adorais ça, donc tant que c'est sur le chemin du retour et qu'après on enchaîne avec la douche, c'est d'accord ! Autre chose : traverser la route, pour un même pas 2 ans et demi, c'est rigolo, surtout quand on adore tout ce qui porte une roue et qu'on a des amis-voiture, alors oui, j'oblige Thomas soit à me donner la main, soit à se laisser porter dans les bras, et s'il ne veut ni l'un ni l'autre on s'assoit par terre, ouais, le temps de se calmer ! Je dis ça pour la connasse, qui ne lira jamais mon blog, qui m'avait fustigé en passant près de nous, assis près du passage piéton avec un : "on ne laisse pas son enfant assis par terre !", à quoi j'avais répondu : "ah oui, madame ? On fait quoi, alors ? On le lance sur la route, peut-être ?" - fin de parenthèse et de coup de gueule).

    Revenons-en à notre futur appart, parce que, ça vous émeut peut-être pas mais là, les toilettes sont accessibles depuis la salle de bains mais par une porte, oui ! Pouvez pas comprendre !!!! On s'en fout c'est notre appart, maintenant, bail signé, états des lieux déterminés, clic-clac dans ma baraque ! Et ça aussi c'est un très très très grand soulagement après 2 ans passés à slalomer dans le merdier, les fringues, les jouets, les meubles, à se cogner, à avoir l'impression d'avoir vécu recroquevillés, en mode foetus, à dormir dans un clic-clac pourrave (même si c'était très gentil de nous le donner, merci bien) alors qu'on a un lit hyper confortable dans la chambre de Thomas, à traverser ladite chambre en pleine nuit pour besoins incontournables, au risque de le voir se réveiller.

    C'est + cher, évidement, que le "taudis" où nous sommes mais on en peut plus de cette boite à sardines, alors mon cher et tendre va laisser tomber le jeu de rôles pour un temps et se trouver un taf mieux payé ; J'ai conscience que c'est un très très grand sacrifice de sa part, en même temps il le fait pour nous 3, pour régler aussi toutes nos casseroles et puis pour participer plus, vu que perso je mets tout mon salaire ds le paiement de la nourrice, appart, courses et cie et que j'en ai un peu marre de ne jamais avoir ni temps ni moyens pour m'occuper un peu de moi, voilà, c'est dit.

    Enfin en même temps, cher et tendre a décidé hier de se laisser balader par son boss pour pouvoir assurer sa carrière, donc les p'tits soins, le temps pour soi et l'éventualité de bosser dans mon domaine, ce sera pour dans... 10 ans ? (ouais je suis vénère, là)

  • Que des bonnes nouvelles !! Chap.I

    Alors nous, on a 2 bonnes nouvelles !!!!!

    1.  Thomas a une place en crèche ! Ouiiiiiiii ! Youpiiii !

    C'est prévu pour max novembre 2007, environ.

    C'est un très très très grand soulagement parce que ce sera moins cher et + pro, et qu'on m'a dit à plusieurs reprises que c'est une très bonne préparation à l'école maternelle ! Bon, certes, on eu la place dans la crèche la plus éloignée dans nos choix imposés, toute proche d'une zone-dont-on-ne-prononce-pas-le-nom (tellement ça craint, chuuuut !) donc pas du tout dans la mignonne crèche où on est allés inscrire Thomas tous les 3 en famille à 3,7 minutes à pied de la maison mais plutôt celle qui est plutôt près de la sécu donc bien en hauteur comme on aime !

    Le truc c'est le sacré-coeur à Montreuil, faut souffrir des jambes pour y accéder, sinon tu mérites pas, c'est comme ça, allez tu sors, t'as perdu, t'es puni !

    L'avantage ô combien non négligeable, et je remercie qui de droit, c'est qu'en plus, cette inscription de dernière chance de dernier joker (c'est trois demandes d'inscriptions pas plus par enfant, après c'est fini, et ils s'étonnent toujours qu'on fasse une demande par an genre c'est trop rapproché ! Enfin au pire je serais allée devant un tribunal 5 ans après, comme si j'avais que ça à faire, merci Sarko, on voit que tu n'as jamais galéré dans ta vie pour faire garder tes gosses !), l'avantage ô combien non négligeable, disais-je donc, c'est que cela nous permettra de souffler un peu après le harcèlement quasi perpétuel de la nourrice qui m'avait quand même prévenue que ça pourrait mal se passer pour Thomas si on ne l'augmentait pas ; Nous avons cédé 2 fois, pour la 3ème elle pourra se brosser !

    D'autant que j'en ai un peu parlé au père de la petite fille qui est aussi gardée par la nourrice, lui demandant de calmer le jeu en insistant pour l'augmenter parce que nous on ne pouvait pas suivre, mais je n'aurais pas dû. Le soir il a dû fumer une noix de coco remplie de destop parce que le lendemain il était suspicieux avec la nourrice, demandant si tout se passait vraiment bien ;

    Bref, ça fait deux semaines que je rassure la nourrice en lui promettant sur la vie de ma mère, mon père, mes frères et mes soeurs, oh ! oh ! ... que je n'ai JAMAIS critiqué la manière dont elle gérait les enfants (juste qu'elle faisait chier sur le fric), bien au contraire, tout le monde dans notre entourage sait à quel point on est ravis que tout se passe bien ! Mais elle a sans cesse besoin d'être rassurée, pour rien en fait, car elle n'écoute qu'elle, me culpabilisant dès que l'occasion lui est donnée pour me dire qu'elle m'a fait un prix parce que j'avais vécu au bled, parce qu'on gagnait peu, et gnian gnian gnian, qu'elle était très gentille et que Thomas il était très intelligent (limite nous ses parents, on ne le mérite pas) et que sa gentillesse valait bien quelque 30 euros de plus, que c'était rien et que mes parents pouvaient payer (???? oui moi aussi ça m'a interloquée). La culpabilisation et le chantage affectif et financier dans le cadre d'une garde d'enfant c'est très grave ! ça sensibilise les parents et l'enfant du même coup qui se retrouve, même si on en parle pas devant lui mais il sent la tension, partagé entre son amour pour ses parents et son amour pour la nourrice. Et c'est très grave parce que, outre un accident mortel dont j'ai été témoins petite chez la nourrice, effectivement j'ai vécu au bled et notre nourrice à l'époque était vraiment adorable, drôle et affectueuse, rien à voir avec celle qui chouine inlassablement malgré mes propos rassurants, s'indignant de ce qu'on a pu dire sur elle et patati et patata, en gros, entre parents d'enfants gardés, on a pas le droit de parler, logique ?

    Par ailleurs, ça me fait penser que la nourrice ne part pas au bled cet été, finalement, alors qu'on s'est arrangés nous pour qu'elle enchaîne ses 5 semaines de vacances là-bas.... Comment on fait maintenant ? On lui demande si elle peut daigner le garder un peu plus ?

    Surtout que, et c'est là que j'annonce ENFIN la deuxième bonne nouvelle.........

  • Mais pourquoi est-elle si méchante ?

    P A R C E   Q U E  ! !

     

    Hier, à la veille du printemps, il pleuvait, il neigeait, il grêlait et il ventait. Tout ça refroidit, déprime, donne envie de s'engueuler, ou de rester chez soi pour les veinards qui sont dans leur boite depuis suffisamment longtemps pour s'octroyer quelques jours.... Ce qui n'est pas mon cas, loin s'en faut et ça se saurait !

     

    Tout ça pour quoi ?

     

    Ah oui, on m'avait demandé d'actualiser mon blog, mais sans témoignages d'amis et d'ennemis, moi je ne sais plus quoi écrire, d'autant que je suis épuisée, aujourd'hui !

     

    Passé mon temps hier, alors que moi-même j'avais le moral dans une boite à chaussures puant le renfermé, la tristesse et le fatalisme, à essayer de rassurer une amie qui culpabilisait d'avoir dénoncé son ex-mari auprès de son avocate parce qu'il ne payait pas la pension ! Moi, à la base, comme je suis assez méchante, on ne le dira jamais assez, j'ai trouvé des arguments assez positifs en faveur de cette initiative osée, certes, mais qui ne la lui avait pas recommandée ? C'est vrai quoi, c'était plutôt lui qui l'avait plantée en refusant de payer la pension, non ? Surtout qu'avec un argument aussi préhistorique que : "tu m'appartiens quand même, le divorce, surtout mené par des avocates femmes c'est rien, ça ne compte pas, tu n'auras pas mon argent", y'a toujours moyen de se gausser, s'exclamer et surtout, téléphoner à la susdite avocate qui n'offre pas, elle, ses services !

     

    Bref. Mon amie semblait être rassurée, on a re-discuté de choses et d'autres, des trucs terribles qui arrivaient aux uns et aux autres, et je sentais ma déprime monter, monter, monter......

     

    Et puis d'un coup, elle est repartie dans son trip,  elle avait l'impression d'avoir poignardé son ex-mari (qui est tout sauf tendre avec elle, sinon elle n'aurait pas divorcé) dans le dos... Du coup j'ai pété un câble et lui ai même suggéré de se flageller avec des clous rouillés....c'est mal, je sais, mais dans la réalité, je pense qu'on ne peut pas réellement se flageller à coups de clous rouillés, à moins que ces derniers ne soient projetés par une sorte de catapulte, très vite et très fort, dans ce cas, mais ce n'est plus une auto-flagellation mais plutôt une agression catapultée de clous risquant de donner le tétanos, donc, à la réflexion, ce n'était pas si méchant que ça !

     

    D'ailleurs je ne m'en veux même pas, preuve de ma grande méchanceté !

     

    Je pense en effet qu'il y a un moment pour prendre ses aises, et un moment pour prendre sur soi (dixit Igor -pronconcer aillegore- dans l'excellentissime "Frankenstein Junior" de Mel Brooks, lorsqu'il raconte son enfance, passée, semble-t-il, en partie dans les toilettes, harcelé par son père qui aurait bien aimé y aimer, aussi, aux WC ). Traduction ? Oui, madame, "tousuite", dirait mon fils ! Ce que je veux dire par-là c'est que les amis, c'est fait pour se consoler et s'entraider, certes, mais à double sens !

     

    Si je sens que je sers uniquement de prise de terre à des pros de la non-communication et du calimérotisme, alors que je ne dispose pas, moi-même, d'une grande confiance en ma personne, au final, ma bienveillante empathie se transforme et mute en un discours plus franc et plus direct, soit d'invitation à se reprendre vite en main, soit de basculer, effectivement, dans les méandres de l'auto-culpabilisation et l'auto-dévalorisation, de manière, je l'avoue, plus ou moins grossière, tout dépend du degré d'énervement atteint lors de la discussion.

     

    Cette mutation est pourtant la bienvenue, qui l'eût cru, puisqu'auparavant je laissais l'empathie me gagner jusqu'à presque ressentir la souffrance, l'épuisement et la défaite de l'autre, ce qui me mettait dans des états impossibles de déprime aggravée par le fait que je ne pouvais, moi-même, résoudre les problèmes de tout autrui m'en ayant fait part. Et ça, c'est inutile, il y a des psys pour ça et ça sert VRAIMENT, si tant est que la personne qui souhaite s'en sortir n'attende pas de son thérapeute THE solution miracle sans avoir à bouger son cul, s'interroger sur le bien-fondé (ou non) de ses pensées et de ses actes et soit HONNETE avec elle-même, surtout, envers et contre tout ! Parce que la conscience de soi, tout le monde l'a, en tant qu'humain, jusque là on est bien d'accord.

    Après, il y a des variantes dans la reconnaissance de cette conscience : d'aucuns diront qu'ils entendent des voix (beh oui, mon p'tit, c'est la voix de la raison ! toi t'es frappé du ciboulot, peut-être, mais ta raison, elle, elle essaie de te remettre sur les rails, et si tu ne l'écoutes pas, c'est que t'es con avant d'être fou, surtout), d'autres reconnaîtront plus ou moins avoir conscience d'eux-mêmes et de ce qu'ils sont VRAIMENT, sans fausse modestie ni apitoiement sur eux-mêmes ni en accusant la terre entière, et je pense, personnellement, avoir vraiment conscience de mon MOI, parfois trop, certes, parce qu'on ne peut se punir en permanence, surtout quand on ne fait rien pour changer, ça sert à rien, mais je sais parfaitement quelles sont mes faiblesses et mes forces au point de vue personnel, en tout cas, car professionnellement, il est rare que je me mette vraiment en avant, je l'avoue aussi.

     

    Et je suis heureuse d'en être arrivée là, OUAIS ! C'est pourquoi je n'aime pas qu'on me salope mon cerveau avec trop de négatif, trop de "je sais pas faire - j'ai cru que j'avais pas le droit - je ne pense pas être capable", parce que quand on veut, on peut mais quand on ne fait pas, on ferme sa gueule ! Comme moi quand je ne fais pas, et oui, vous me croyiiez parfaite, j'aurais aimé vous le laisser croire mais il n'en est rien !

     

    Méchante ? Peut-être, mais je me protège, et je défends mon taf, limite oublié pendant de longues journées de remontages de moral, de lancement de parterres de fleurs et d'encouragement puisque la vie est belle ! Certes, la vie est belle, mais si on ne me laisse pas bosser, respirer, échanger naturellement, rire et contredire, ça ne va plus !

     

    Parce que le pire, dans tout ça, c'est que je l'adore, ma copine ! Quand elle a la pêche et de l'énergie à revendre, c'est un plaisir d'échanger avec elle de la rigoulade, des conseils sur et pour les enfants, des astuces de cuisine et des idées bricolojardinodéco ! C'est pour ça, je crois, que j'ai eu autant de difficultés à la contrer avant de devenir agressive, c'est parce que j'ai pas trop envie qu'elle me prenne pour, par exemple, ma belle-mère, mais en même temps, faut pas trop pousser mumu dans les orties !

    Parce qu'en plus, je sais que mon amie est dans une position difficile, elle souffre d'une maladie inconnue hyper douloureuse et doit presque rester cloîtrée chez elle, mais en fait ce n'est pas de ma faute ! Il n'y a même pas de "en fait" qui tienne ! Et l'empathie, fort présente chez moi, ne peut se transformer en souffrance par procuration, je m'y refuse !

    Alors je vais prendre de la distance, doucement, sans m'énerver, sans exclure, et le premier qu'est pas d'accord et ben il se casse !

    Je n'oblige pas les gens à penser comme moi, certainement pas !

    Seulement je demande qu'on respecte MA personne, MES décisions, MES envies, MES conseils (parce que quand, à la longue, j'ai l'impression de parler à un mur, bon, c'est pas la peine, y'a plein de murs dans mon appart auxquels je peux parler sans me sentir déprimée et je préfère tout autant !) et MES  tristesses à moi aussi, qui sont moins pires que celles des autres, certes, mais je ne fais pas la course, moi, et je préfère faire étalage de ce que j'ai plutôt de ce que je n'ai pas, ça me fait moins ressembler à un p'tit tas de truc tout pas beau tout mouillé tout crotté au bord de la route...

    Et bonne fin de semaine !!!

  • Utopie réaliste au service des vieux

    "La Maison des Babayagas, je cite, Babayaga signifiant vieille sorcière en russe, est un projet de lieu de vie solidaire, citoyen, écoloqique, fonctionnant en autogestion. Il est porté depuis presque 10 ans par un groupe de femmes, Thérèse, Monique et Suzanne (ma grand-tante) qui se constituent en collectif au fur et à mesure de son élaboration.

    Le collectif est constitué en association loi 1901, qui réunit aussi des amis, femmes et hommes, participant à la réflexion et soutenant très fortement cette démarche.


    Le projet, travaillé en collaboration active avec le service études-habitat de la ville de Montreuil, a été soumis par celle-ci en février 2006 aux diverses partenaires susceptibles de le financer.

    Après des mois d’attente, le vice président du Conseil Général de Seine-Saint-Denis chargé de la politique des personnes âgées, a fait savoir, qu’examiné avec attention tant au plan administratif que politique, le projet, malgré sa qualité et son caractère innovant, ne pouvait recevoir, avec les critères actuels, une réponse favorable à la demande de subvention.


    Forte du très large soutien exprimé de partout – France comme étranger – et de tous, femmes et hommes de tous âges, spécialistes divers, professionnels, ou tout simplement citoyens, et surtout par de très nombreuses personnes âgées, l’association soumet à toutes celles, tous ceux qui veulent marquer leur accord avec son projet, la pétition suivante qui sera remise au président du Conseil Général du 93".

    Pas de chiffres, effectivement, quoique peut-être, dans les autres onglets, qui présentent le projet, mais pas de paternité attachée à une institution connue, non, non, surtout pas !

    Cette initiative, pas particulièrement délirante mais garantissant une communauté de vie bien différente de celle des maisons de retraite-mouroirs ou des hôpitaux, est totalement innovante en France (elle intéresse même d'autres pays d'Europe, c'est vous dire !), il ne rentre dans aucune case, c'est bien pourquoi le Conseil Général refuse, après avoir eu dans les mains le dossier pendant 10 ans, d'apporter les sponsors nécessaires à la veille de la construction !

    Si vous pensez qu'une fois à la retraite, votre vie n'est pas finie, bien au contraire et que vous aimeriez plutôt finir vos jours dans des endroits ouverts au monde et à la vie citoyenne plutôt que dans une boite à vieux déresponsabilisés, abêtis et nourris à la paille, n'hésitez vraiment pas à signer la pétition des babayagas !

  • Ôde au Niko

    Le Niko est attachant, si ! si !

    C'est vrai qu'on a envie de le protéger, de l'entourer, de le rassurer, de rire à ses blagues et de partager du temps avec lui....

     


    Et puis, parfois on a envie de lui mettre des baffes.

    Pourquoi ?

    Je vais vous le dire.....

     

    Parce qu'il se lamente, beaucoup, trop, et personnellement, je pense que lorsqu'il n'y a pas d'issue heureuse à sa souffrance sinon d'en faire fi et se construire une nouvelle vie qu'à soi, il lui faut la surmonter pour vivre pleinement !

     

    Pensez donc !

     

    Un Niko de 28 ans qui croit que sa vie est finie !!!!!

     

    Un Niko qu'est cap' de faire du bon manger avec deux courgettes et de la feta !

     

    Un Niko qui sait repasser au point même d'humilier ses jeans !

     

    Un Niko qui peut détruire deux gros bras pendant une partie de paint ball !

     

    Un Niko qui dit "tagazog !" en guise de "bonjour" ! 

     

    Un Niko qui parvient à survivre à un nouveau taf où sa chérie bosse et le recommande, laquelle le largue 3 jours avant son entrée en poste, après 8 de relation !!!! 

     

    Un Niko qui a une nouvelle chérie qui craint de ne pas faire le poids !

     

    Ce soir le Niko va quitter ce travail où le drame a commencé, pour débuter un tout nouveau tout beau vrai boulot, alors souhaitons-lui BONNE CHANCE et BELLE VIE !!!!

     

    Alors, je vous le demande et vous en conjure, je vous invite à soutenir le Nikothon avec moi et à lui démontrer que OUI ! La vie, elle est BELLE !!!!!

     

    De toutes manières, s'il ne suit pas, je l'ai déjà prévenu, c'est coup de boule et sans cagoule !