C'est mon choubidou d'amour, mon 1er petit scarabée, qui demain tout à l'heure ce soir à 23h17 pour être absolument très précise, aura 10 ans...
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
C'est mon choubidou d'amour, mon 1er petit scarabée, qui demain tout à l'heure ce soir à 23h17 pour être absolument très précise, aura 10 ans...
Blogueurs et facebookers, famille et amis, amoureux et enfants, vous avez enchanté nuits blanches et moments de répit, MERCI et BONNE ANNEE !!
Suffit de taper du pied, d'exiger, de perdre son temps à convaincre, d'être déçue, de s'acharner, d'insister, de croire et d'espérer. No me llamo Don Quichotte !
Vrai, je me lâche sur mon enfance et ma croissance incomplète et, sur certains points insupportables à admettre, de l'avis de mes deux géniteurs chacun de leur côté, je mens, évidement, sinon ce serait trop facile.
Note publiée puis dépubliée bicoze trash (donc mal assumée à l'époque) le 18 avril 2008. Pourtant les principaux désignés, qui ne s'abaisseront jamais à lire sur le web, ce repaire de chancres-adeptes-du-mdr/ptdr/lol-en-pagaille qui n'a "aucune chance commerciale de réussir dans ce monde" (tu l'as dit bouffi), ne l'ont jamais lue puisqu'eux non plus n'ont pas réussi à trouver mes blogs malgré tous mes multiples envois de liens sûrs / fiables / permanents.
--------------------------------
06h38, la nuit est partie et le jour s'est levé.
Un peu de vent, quelques nuages roses et gris.
Une fraîcheur à combiner avec un cache-coeur, un pull et mon désormais nouveau blouson fétiche à capuche, offert par Mon-papa-A-MOi....
Espèce de vieux loup d'mer embouteillé de vinasse, premier pédophile toléré par la populace, sale grigou d'enculé de ta race, MÊME quand on ne croit pas en toi, ton règne peut pourrir la fin d'une année comme ça, sur un malentendu....
Ma grand-mère est passée à la radio ce matin (France Inter, 2ème enregistrement), mon objectif-réveil tout doux du jour....
Vous prendrez bien un p'tit peu de triso ? Siiii.... Les résultats n'étaient pas très bons du tout, mais ne vous inquiétez pas, va falloir refaire la prise de sang, mais ne vous inquiétez pas, après vous prendrez la décision de votre choix mais ne vous inquiétez pas... Finalement les résultats sont bons, oui. OUAIIIIiiiiisss ! Sauf que pour la toxo, mais ne vous inquiétez pas, c'est pas bon du tout, mais alors vraiment, c'est pas de chance, mais ne vous inquiétez pas, je vous mets direct un mois d'antibios, passez aux urgences obstétriques, mais ne vous inquiétez pas, vous ne pouvez pas faire autrement, ça peut être très grave, mais ne vous inquiétez pas, deux conversations à quelques semaines d'intervalles laissant peu de place au questionnement et aux angoisses, alors pour pallier je mitraille mes fenêtres et vous savez quoi ? La nature pousse pas mal, par chez nous...
Pour faire court, parce qu'il est ultra méga tard, 2h du mat, qu'il reste UN jour de taf, pas de bol c'est demain, mais c'est bien quand même et que vraisemblablement, au vu de nos activités respectives de bloguage effréné et montage de figurines pour Lenton et que toute idée de tentative de douche à deux est désormais hors de question, bonsoir.
Jeudi dans 3 jours, que dis-je, nous sommes déjà mardi-youpi, dans 2 jours, vers 17h, nous serons tous les 3 à Agadir pour une semaine de retrouvailles avec le passé et découverte du présent. J'ai fait la liste des lieux où j'ai envie de retourner. Impression d'être sur pause. Assume les périodes lentes de mon cerveau qui compte encore les frites ingurgitées. J'y croirais quand la porte de la chambre, acquiescée et validée par les hautes instances hôtellières, se refermera sur notre nouvelle aventure... Trop de frissons, m'en vais choper des cônes noix de coco... Bonuit
Il est là, il est là ! Sur les pages de son Editeur Indigne, on peut enfin feuilleter le tome 2 de la Mère Indigne du Canada-Québec (j'en mets 2 au cas où et, accessoirement au taf, pas trop le temps de vérifier) ! Moi non plus j'ai pas lu le 1er, mais c'est justement pas exclu de m'offrir les 2, tiens. Pis aussi çui des Mauvaises Mères, et... Ah oui, Comment ne pas éléver d'enfants parfaits, de Libby Purves, qui est pas mal du tout en moins indigne, bien entendu. Parce que qu'est-ce que j'ai, moi... Fabriquer et porter un enfant dans son ventre, de Pernoud, ça c'est fait, y'en a un dedans, un dehors... ; la notice d'un test de grossesse, ben poubelle, je crois qu'on en a plus besoin, L'éducation de 0 à 6 ans, on est en plein dedans donc c'est boooon... Donc, vraiment, je ne vois que des bouquins dédramatisants plein d'astuces d'indignes et mauvaises génitrices pour me détendre les zygomatiques, d'autant que j'arrive à la fin du tome 13 de la Compagnie des Glaces, que sinon après j'ai que le 16, que le 14 est totally-épuisé-même-pas-sûr-qu'il-soit-réédité et que le 15ème n'est qu'à 57 €, tout va bien... Comprenez donc mon désarroi littéraire ! Sinon y'a aussi le bouquin d'Allen Carr mais ça c'est du sérieux, ça révolutionne les neurones et le reste d'idées reçues mal digérées lors de ma 1ère lecture en 2003 de ce maîîîîître incontesté de l'arrêt du tabac.
Je ne tiens plus le coma me guette, il faut que j'aille dormir (en vrai) dans les toilettes...
C'était le titre d'une discussion de ce matin dans "On est pas que des parents", sur la 5, et comme de bien entendu, ça m'a marqué. A l'heure où ma vie va de nouveau changer, des tonnes d'interrogations, de doutes et d'angoisses refont surface et, à moins de me re-coller dans une énième psychothérapie (réflexions heureusement bien menées par l'Homme, qui l'eût cru, qui ne prend pas d'honoraires), il est temps pour moi de prendre ma vie en main et d'arrêter de culpabiliser pour tout ou rien.
L'intervention du psy et des témoins ce matin m'a fait réaliser que j'ai eu de grosses difficultés à dire NON dans toutes les situations qui risquaient de m'attirer réprobation et mépris pour le tout petit truc inculte que j'étais et que pour moi il valait mieux dire OUI pour être sûre d'être acceptée, validée, aimée.
Si je fais l'inventaire des moments où j'ai pu dire NON dans ma vie, déjà il n'y en a pas bézèf, et puis cela n'était pas forcément pour mon bien à moi car après avoir dit OUI à tout, il me semblait judicieux de dire le contraire dans un simple but d'affirmation de moi-même et aussi pour faire chier le monde, je me dois bien de l'avouer.
A présent, alors que cher-et-tendre et moi avons décidé de renoncer à quelques vices qui me culpabilisaient sincèrement, j'ai l'impression d'y voir plus clair et d'être moins dépassée par ce sentiment d'échec permanent qui m'étreignait, croyant que désormais, dès que tout sera vraiment réglé, certains changements seront possibles à condition de s'y préparer et d'y réfléchir intelligemment, sans crainte d'éventuelles réactions négatives, car on ne peut obliger les gens à penser comme nous (même si cela nous semblerait bien légitime), notamment dans les grands thèmes qui préoccupent tout un chacun obligé d'assumer sa vie : le perso et le pro, tout en tenant compte de la réalité de notre monde, bien entendu, et le tout en retroussant bien ses manches (ou en s'ôtant les doigts, c'est selon, mais la bronchite, étrangement, n'entraîne que très peu de vulgarité actuellement) et en cessant de reprocher ses choix à qui que ce soit, autrui ou soi-même, parce que le plus important, à vrai dire, c'est d'assumer sa vie et de savoir s'aimer pour pouvoir aimer les autres.